Béjart fête Bruxelles
La Maison Béjart vous propose de découvrir trois nouvelles expositions. (Manuscrits programmes, photographies, vidéos, films, articles de presse… ).
« Béjart en tous genres ». L’exposition montre comment le chorégraphe a utilisé le personnage du travesti dans nombre de ses ballets. Y sont présentés, entre autres, les ballets “Héliogabale”, “Le mandarin merveilleux “et “Séraphita “
Béjart : « Quand je crée, je me sens androgyne (…) Le travesti au théâtre est une tradition séculaire. J’éprouve beaucoup d’admiration à l’égard des travestis qui représentent l’accomplissement fugace d’un désir essentiel. Même si c’est un mirage, on y croit!»
« Béjart les jeunes années ».
Né à Marseille le 1er janvier 1927, c’est à Paris auprès de grands professeurs que Maurice Béjart acquiert l’essentiel de sa formation de danseur. Ce bagage classique, il l’étrenne au Ballet de Vichy (1946), puis avec Janine Charrat et Roland Petit, et enfin à Londres au sein de l’International Ballet. Une tournée en Suède avec le Cullberg Ballet (1949) lui fait découvrir les ressources de l’expressionnisme chorégraphique.
Des documents exclusifs sur l’enfance à Marseille, l’adolescence à Paris, la jeunesse à Londres et en Suède.
« Béjart-Bruxelles »
Béjart : « Quand Maurice Huisman, nouveau directeur du Théâtre de La Monnaie de Bruxelles, m’a appelé en 1959 pour ré́aliser le sacre du printemps, j’ignorais que cela allait être le début d’une longue vie à Bruxelles. Près de 30 ans! . C’est à Bruxelles que l’essentiel de ma création chorégraphique a été réalisée. »
Maison Maurice Béjart Huis
Bruxelles
Exposition
Béjart fête Bruxelles
EDEN 2.023 · A New Perspective on Paradise
De Ultieme Hallucinatie
Saint-Josse-Ten-Noode
Exposition
EDEN 2.023 · A New Perspective on Paradise
Exposition permanente
Photographie artistique sur différent support .
Egalement un concept unique au monde de photographies sur soie.
Il était une fois un photographe voyageur qui rêvait de donner vie à ses photographies.
Elle a créé une collection exclusive en édition limitée de tops, robes, foulards et boléros.
Yseult D.
Yseult Depelseneer
Bruxelles
Exposition
Exposition permanente
Sous les izran, l'héritage
Bienvenue au lancement du livre " Sous les izran, l'héritage " de Fatiha SAIDI. Un livre magnifique sur la richesse de l'izran, la poésie chantée du nord du Maroc.
18:00 Vernissage de l'expo
L'IZRAN qui émane des visages du Rif
Des portraits de femmes rifaines qui révèlent de nombreuses facettes des chants poétiques d'Izran. Exploration d'un héritage oral traditionnel rare. Des portraits inspirés du livre de Fatiha Saidi.
Exposition produit par l'Atelier ciné-photo de la Maison des Cultures et de la Cohésion Sociale & AVANSA CITIZENNE vzw | Photographe : Zakaria El Bakkali • Assistante : Alina Horodyska.
19:00 Présentation du livre " Sous les izran, l'héritage ", en présence de l'auteure.
20:00 Concert
Maison des Cultures et de la cohésion sociale de Molenbeek (MCCS)
Molenbeek-Saint-Jean
Exposition
Sous les izran, l'héritage
Window Expo: Ilja Sircenko
GC De Maalbeek
Etterbeek
Exposition
Window Expo: Ilja Sircenko
fantômes rétiniens
beata szparagowska, fantômes rétiniens, photographies, exposition du 22 août au 30 septembre 2023, vernissage le lundi 28 août de 18 à 20 h 30
Les rouleaux de films qui sommeillent au fond du tiroir. Depuis une année, parfois plus. Pas d’urgence, les images attendent patiemment d’être révélées et d’être vues.
Ressorties une nuit d’insomnie, la maison dort toujours, je n’entends que ma respiration dans l’obscurité quand je les glisse dans la cuve de développement. Puis, je vais à la cuisine, je la pose, la vaisselle non lavée à côté, il pleut dehors. Le rythme monotone des gestes, leur précision qui rassure.
L’odeur de la chimie, des produits qui s’écoulent dans la cuve. Le temps qui passe. L’alchimie. Parfois je fais quelques pas de danse avec la cuve entre les mains. Le chien se réveille, me regarde sans comprendre. Le dernier rinçage et ça y est. Je vais me coucher. Le matin, les films développés sont toujours là, secs, suspendus sur une corde à linge dans la cuisine. Je les regarde à la lumière du jour.
Des images se bousculent. Des instants, captés en mouvement lors de l’un ou l’autre voyage, à peine aperçus, des mauvaises herbes glanées au bord de la route pendant que le paysage défilait me reviennent des années plus tard et se dessinent maintenant avec précision sur la pellicule.
Un bateau découpe l’horizon. Une sirène lointaine. Le clapotis de l’eau. Les pas sur la neige. Le silence d’un lac glacé. Une joie soudaine. Un réverbère. Une rue vide. Le bourdonnement d’une mouche derrière le rideau. La douceur des draps. Le sommeil.
Ces derniers mois je dors à nouveau mieux. Mes nuits sont denses de rêves. Le jour, j’attends avec impatience l’arrivée du soir et du sommeil.
Dormir. Se glisser lentement dans l’eau froide. Pas après pas. Le cœur qui bat trop vite. Après un moment d’hésitation, plonger la tête. Un bref frisson et ça y est. Je suis de l’autre côté.
Des miettes éparpillées d’un carnaval oublié dessinent une toute nouvelle constellation.
Les cris des oiseaux deviennent bizarres. Une mouette me regarde dans son vol. Où suis-je maintenant ? L’eau est douce, rassurante. Le clapotis des vagues me berce, découpe le paysage aux alentours en mille morceaux. J’entends un rire. De quel côté vient-il ?
L’eau est sombre et dense comme du goudron. Immobile. Toujours ce rire. Je me réveille en nage. La respiration violente, comme si je sortais la tête hors de l’eau.
La persistance rétinienne. La lumière qui dessine des formes au fond de l’œil. La lumière qui noircit la pellicule, image après image. La lumière qui grave la mémoire. Qui se glisse sous les paupières dans les rêves.
Beata Szparagowska
beata szparagowska
Le Salon d'Art
Saint-Gilles
Exposition
fantômes rétiniens
Rising Circles – Georges Rousse
A 75 ans et avec des centaines d’installations quadraturistes à son acquis, Georges Rousse n’en finit pas d’étonner. Architecte, dessinateur, plasticien, photographe, il maîtrise toute la construction de son œuvre photographique ; Georges Rousse s’est laissé inspirer par les espaces du Hangar et y a fait naître comme un « soleil ».
A 75 ans et avec des centaines d’installations quadraturistes à son acquis, Georges Rousse n’en finit pas d’étonner. Architecte, dessinateur, plasticien, photographe, il maîtrise toute la construction de son œuvre photographique ; Georges Rousse s’est laissé inspirer par les espaces du Hangar et y a fait naître comme un « soleil ». Quand le soleil se lève au Hangar, des dizaines de cercles concentriques lui répondent. En effet, parmi les centaines d’œuvres créées par Georges Rousse aux quatre coins du monde, nous avons choisi non pas l’angle de la chronologie, de la couleur ou de la typologie des espaces, mais celui du cercle. Avec Rising Circles, l’exposition balaie ainsi des dizaines d’années de travail autour du symbole le plus puissant du monde, le cercle. En plus de la lune, du soleil, de la roue de la vie, on y verra aussi l’objectif de l’appareil photo. Pour celles et ceux qui regardent l’œuvre de George Rousse, il ne s’agit pas seulement du Close Enough mais aussi de définir un seul angle de vue précis.
Hangar
Ixelles
Exposition
Rising Circles – Georges Rousse
Bruxelles Ma Belle
Photographe bruxellois captivé par la pureté des lignes et des perspectives des paysages urbains.
Jean-Marc Aloy partage avec vous, le temps d'une exposition, sa vision des noir et blanc.
Il vous propose de (re)découvrir un Bruxelles insoupçonné, composé d'ombres et de lumières
Jean-Marc Aloy,
Damien Cassiers
W44 Photo Gallery
Bruxelles
Exposition
Bruxelles Ma Belle
Multiphotographs : Jeux américains
Nous vous proposons de découvrir une exposition thématique abordant la photographie dans les productions artistiques de la fin du XIXe et du début du XXe siècle dans les pays du monde. Seront exposées toute une série d'archives photographiques d'époque et de reproductions tournant autour du trucage photographiques et de la mise en scène.
Atelier 34zero Muzeum
Jette
Exposition
Multiphotographs : Jeux américains
Close Enough - 12 women photographers of Magnum
A travers 12 projets, rassemblés par la curatrice Charlotte Cotton, sous le titre Close Enough – 12 women photographers of Magnum, on perçoit que les photographes se sont approchées au plus près de leur sujet. Cette « nouvelle perspective »redéfinit la notion de Close Enough de Capa : du rapprochement spatial, on passe à la rencontre humaine.
“If your pictures aren't good enough, you aren't close enough.” – Robert Capa A travers 12 projets, rassemblés par la curatrice Charlotte Cotton, sous le titre Close Enough – 12 women photographers of Magnum, on perçoit que les photographes se sont approchées au plus près de leur sujet. La « nouvelle perspective » évoquée par Charlotte Cotton redéfinit la notion de Close Enough de Capa : du rapprochement spatial, on passe à la rencontre humaine. Grâce à ces sujets qui se déploient sur les murs du Hangar et à l’objectif resserré de ces talentueuses photographes, on navigue dans des thématiques puissantes et en prises avec le monde contemporain.
Hangar
Ixelles
Exposition
Close Enough - 12 women photographers of Magnum
Forever. "The best day of my life"
Le mariage est le sujet populaire pour les photographes professionnels et amateurs depuis les années 1900. Artistes contemporains, photographes professionnels et images historiques de 10 pays se croisent et se répondent. A la frontière de l’Art Brut, c'est un voyage émotionnel entre la joie colorée et la tristesse mélancolique; c’est aussi une porte ouverte aux souvenirs et légendes familiales.
La Tiny Gallery, le petit musée de la photographie amateur, accueille treize artistes contemporains de dix nationalités autour de leur passion pour les techniques anciennes. Depuis les premiers jours de la photographie, les amateurs utilisent ces techniques historiques, telles que le papier salé, le cyanotype ou l'albumine, pour documenter la vie quotidienne. L'exposition "FOREVER, a close-up of Love and Marriage" pose une nouvelle question: quelle est la place et la destinée des photographes amateurs dans un mariage ? A l'heure des selfies et des partages massifs par hashtags, la photo de mariage a ceci de spécial, c’est celle qui reste, que l'on imprime et agrandit.
Pour ce projet, Olivier Guyaux, curateur et collectionneur, a étendu sa collection historique en recueillant des clichés de mariage originaux provenant de Belgique, France, ex-Yougoslavie, Ukraine ou encore des États-Unis. Les artistes ont, quant à eux, apporté une contribution propre à leur démarche personnelle. La Tiny Gallery est un laboratoire de recherches à la frontière de l’intime : un sujet, la quête et la rencontre d’une archive…
Esthétique, instantané, kitsch, inclusif, le large parcours international s’enrichit des images collectées par les artistes dans une démarche familiale qui s’inscrit dans l’intime profond. Qu’ils en soient ici particulièrement remerciés.
Les créations ont été réalisées dans le cadre des ateliers procédés anciens et rencontres de la Tiny Gallery durant l’année 2022-2023.
Dorothée Wycart, Andrea Csepregi, Cecilia Belén Sandoval, Monya Ghabantani, Ben Money-Kyrle, Beatri Narbutait, Petermfriess, Yves Goethals, Candice De Turck, and Olivier Guyaux (Collection and Curation)
TinyGallery Brussels
Ixelles
Exposition
Forever. "The best day of my life"
J'ai vu le futur
Une installation photographique qui présente les vestiges des Expositions universelles à travers l'histoire.
A partir du 21 juin, l’artiste québécoise Ève Cadieux prend possession d’une sphère de l’Atomium, témoin emblématique de l’Expo 58, pour offrir sa vision des expositions universelles qui ont marqué de leur empreinte tant l’Amérique du Nord que l’Europe. « J’ai vu le futur* » : une installation photographique, miroir d’un avenir idéalisé
Pour la photographe Ève Cadieux, la fascination pour les expositions universelles et internationales est née non loin de chez elle à Montréal. En 1967, avant même sa naissance, son père fait partie des visiteurs réguliers de ce rendez-vous international. Il fixe alors sur diapositives ces parcelles du monde à l’accent futuriste. Enfant, Eve Cadieux se régale des anecdotes de ses parents et a même l’occasion de visiter les vestiges de l’exposition.
Le déclic se produit en 2015 à Séville. Elle décide de partir sur les traces de l’exposition universelle qui s’y est tenue en 1992. Là, elle prend conscience que sa fascination dépasse 1967 et Montréal. Elle doit se lancer dans ce projet qu’elle nourrit depuis de nombreuses années : partir à la recherche de prouesses architecturales que la nature a investies, de zones à l’abandon ou de pavillons exilés, sinon reclassés.
Dans sa démarche artistique, Ève Cadieux privilégie deux avenues de travail et devient une « archéologue-artiste » : soit elle se concentre sur l’objet porteur de mémoire, soit elle pose son regard sur les lieux en transition et leurs vestiges. « J’ai vu le futur » rejoint cette notion de transition. A chaque visite programmée, Ève Cadieux se documente. Elle sait que rien n’est immuable. Elle fixe, comme autant de marqueurs, ces lieux qui initialement sont voués à être démantelés, une fois les lumières éteintes.
L’installation de l’artiste est pensée pour l’Atomium. Il ne s’agit pas, pour elle, d’accrocher simplement des photographies aux murs, mais bien de dialoguer avec l’architecture de cet écrin. Le tout dans une scénographie faisant la part belle à l’union de la lumière et des œuvres.
Parmi les vestiges des expositions universelles, l’Atomium fait partie des privilégiés : grâce à une prise de conscience patrimoniale et à un financement de tous les niveaux de pouvoir en Belgique, elle a évité la démolition et a été profondément rénovée en 2006.
Résultat : quelque 650 000 visiteurs par an et l’occasion de profiter d’un panorama imparable sur Bruxelles. Avec cette installation photographique, c’est aussi l’opportunité de croiser le regard sans concession d’Eve Cadieux sur un phénomène universel.
*Traduction de « I have seen the future » slogan qui figurait sur les épinglettes du manège Futurama, à l’Exposition universelle de New-York de 1939-1940.
Atomium
Laeken
Exposition
J'ai vu le futur
Champ libre 3
Contraste donne champ libre à 5 élèves pour scénographies leur travail
Anne Stichelmans
Eric Tchéou
Delphine Dubois
Frédéric Thisse
Frédéric Servais
Contraste - L'atelier de photographie
Etterbeek
Exposition
Champ libre 3
Bezoek Expo: Close Enough
Hangar
Ixelles
Exposition
Bezoek Expo: Close Enough
Karim Abraheem
GC Ten Weyngaert
Forest
Exposition
Karim Abraheem
Rattus
Est-ce que je vais apercevoir des rats au musée ? Nos visiteurs nous posent régulièrement cette question. Par curiosité, par fascination mais surtout par peur. Eh non, la mauvaise réputation du rat n’est plus à faire. Mais cette réputation est-elle vraiment fondée ? Pour sa première année thématique, le Musée des Égouts vous invite à déconstruire les stéréotypes liés à ce petit rongeur !
Ludique et immersive, découvrez notre exposition Rattus prenant place dans tous les espaces du musée. Les superbes photos et vidéos de la Minute Sauvage permettent d’être au plus près de l’animal. Le musée vous propose également de nombreuses animations inédites : ateliers scientifiques et culturels, rencontres avec des spécialistes et des dératiseurs, ... Des activités adaptées aux enfants, aux adolescents mais aussi aux adultes intéressés par l'environnement. Avec Rattus, le musée donne à ses visiteurs des clés pour mieux appréhender le rat, son évolution, sa place et son rôle dans notre ville.
La Minute Sauvage (photos en vidéos)
Musée des Egouts
Bruxelles
Exposition
Rattus